19th mars Après une année 2014 marquée par des doutes sur la rentabilité, les e-commerçants interrogés par la …
Après une année 2014 marquée par des doutes sur la rentabilité, les e-commerçants interrogés par la Fevad pour LSA semblent de nouveau très optimistes, notamment grâce à l'essor des marketplaces et à l’émergence de nouveaux relais de croissance dans le m-commerce et à l'international.
Une exception dans la morosité ambiante. Alors que la plupart des décideurs sont fébriles lorsqu’on évoque l’avenir, les e-commerçants eux constituent une caste à part, sorte de dernier bastion d’optimisme en France. C’est ce qui ressort du denier baromètre sur le moral des e-commerçants de la Fevad en exclusivité pour LSA. Et ce moral s’améliore même par rapport à l’année dernière. Après une année 2014 où les vendeurs en ligne commençaient à émettre des doutes (notamment en raison d’une rentabilité défaillante), cette année les quelques nuages semblent s’être dissipés.
"2014 était une année charnière pour les e-commerçants avec quelques incertitudes, confirme Marc Lolivier, le délégué général de la Fevad. On voit cette année que les choses se précisent avec d’un côté des retailers multicanal qui se focalisent sur les marchés de masse et des pure players du e-commerce qui occupent des marchés de niche et des ventes événementielles." Bref, les uns n’ont plus peur des autres et tout le monde commence à comprendre qu’il y aura de la place pour tout le monde. D’abord parce que la croissance reste soutenue (+9% en 2015 anticipé en 2015 par la Fevad) ensuite parce que l’acte d’achat se banalise sur Internet. Un marqueur en est le paradoxal symbole : celui de la chute du panier moyen (81 euros en 2014 en baisse de 4%). Ce recul (accompagné d’une forte hausse de la fréquence d’achats) traduit une banalisation de l’achat en ligne. Piles, couches culottes, stylos ou chargeur de smartphone, tout s’achète désormais sur le web.[…]
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Après une année 2014 marquée par des doutes sur la rentabilité, les e-commerçants interrogés par la Fevad pour LSA semblent de nouveau très optimistes, notamment grâce à l’essor des marketplaces et à l’émergence de nouveaux relais de croissance dans le m-commerce et à l’international.